dimanche 11 juin 2006, par Claude Cordier
On me plaça en une île, ainsi on m’isolamisait (isolée sans accord mais des fois qu’on ai choisi de ne plus fréquenter les humains), je disposai en personnel d’un petit outil qui exprimait ce que glorieux veut dire.
La gloire qui permet aux condamnés à mort de monter la pente dernière sans vomir sur soi.
On vous mites donc sur une île bien isolée.
Oui et je me sens mitée.
Et on vous expliquâtes le pourquoite !
Pas clairement.
Quesce donc alors qui vous valûte autant d’acharnement de la part de l’autorité policière ?
Je n’en sus rien mais au demeurant l’adjoint du Saint Père me fit du genoux et je n’aimâtes pas du tout, il portait la soutane branchée MP 3, musique à donf, et rien en dessous.
Et alors ?
En dessous c’est mou et moche.
Que vous fîtes donc ?
Je lui administrai le glorieux outil d’entre mes jambes.
Et qu’exprima-t-il ?
Ouf !
Et c’est tout ?
Oui, avant de crever on dit tous "Ouf" et cela suffit, y’a pas de quoi chanter la Tosca.