Quand je marche je me prends les pieds dans des choses qui semblent me chercher, moi et pas les autres, alors je trébuche et les épargnés rigolent.Mais le risque est là.
Elle avait chaud, toujours trop chaud, même quand les autres grelottaient, elle se dévêtait et réclamait de l’air.
Désespérée, et capable de tout même du reste, elle plongea son visage devant le ventilateur, il aspira ses cheveux, les pales brouillèrent la tête, et le reste du corps qui vint comme autant de débris.
Telles les oies du Canada qui volent aux côtés des avions qui ne devraient pas être là en ce ciel si pur qui n’appartient qu’à elles et qui pourtant les détruit.
Claude...
Que je suis heureuse de t’avoir trouvé en un lieu où tu laisses traces de toi...
Bonheur complet.
Je te rajoute parmi mes liens sur mon blog, soeur Hopi.