vendredi 23 décembre 2011, par Claude Cordier
Revisitons donc les chansons de l’enfance des vieux qui persistent et signent des lois qui vous gouvernent.
Un chant de Nowell chrétien, franchouillard et défaitiste : La marche des rois : De bon matin, j’ai rencontré le train De trois bourrins qui partaient en campa-a-gneu. De bon matin, j’ai fait sauter le train Des candidats qui ne m’disaient rien.
Une danse revigorante : La bourrée en Gascogne, La bourrée y va pas bien Ils l’ont violée à quatre Quatre jeunes bellâtres L’ont forcée sans vergogne Accompagnés d’un musicien.
Cadet Rousselle a une épée très longue mais rouillée. C’est toujours ça de gagné.
Bonne nuit les petits et à la prochaine veillée en chansons fulgurantes.