lundi 28 février 2011, par Claude Cordier
Choisissez bien votre route, ni trop lisse, vous pourriez glisser, ni trop caillouteuse, vous pourriez trébucher et puis prenez votre voiture c’est plus rapide.
Dans le métro j’ai vu des femmes qui portaient toutes exactement le même sac à main. Je n’ai pas osé leur demander de les ouvrir pour constater si les contenus étaient les mêmes. On ne fait pas cela non plus avec les jumeaux.
Un matin, vous verrez, vous ne vous reconnaîtrez plus dans votre miroir, vous aurez vieilli d’un coup dans la nuit et vous le prendrez très bien, vous verrez.
Je vous le dis comme je le pense, la sagesse est inaccessible et pourtant je pense beaucoup.
La vie n’est pas trop courte, ce sont les shorts qui le sont, d’ailleurs les gens qui portent des shorts vivent plus longtemps, c’est connu.
Un jour il faut bien se poser la question : Est-ce que je me supporte ? Si la réponse est négative, la séparation sera dure.
C’est joli Venise, c’est pathétique, toute cette eau, ces palais, ces fissures, ces chefs d’œuvre, toute cette beauté qui s’enfonce, s’enfonce, s’enfonce…